vendredi 18 septembre 2009

L'Occident comme ennemi.

Pourquoi nous ne sommes pas occidentaux.
Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, l’Europe est « en hibernation » selon les mots même de Dominique Venner. En effet, ayant été sous domination, physique et idéologique des Etats-Unis et l’ex- URSS, l’Europe a perdu depuis, sa grandeur et sa place dans le monde. Après la chute du mur de Berlin, un espoir était lancé, le bloc du communiste était tombé, les nations historiques s’étaient reformées (Allemagne) et enfin, une Europe politique forte aurait pu se faire. Mais ce ne fut point le cas. Après la chute du bloc communiste, les Américains ont étendu leur suprématie sur l’Europe de l’Est anciennement communiste, et, par le biais du traité de Maastricht, et de l’Union Européenne, assouvit pleinement cette domination. En effet, une Europe forte, tant sur le plan économique et tant sur le plan politique, indépendante et protectionniste aurait été bien trop dangereuse pour les Etats-Unis. De surcroît, les lobbies proaméricains ont favorisé une Europe libre-échangiste, sans frontières, mondialisée, et, où les nations elles-mêmes furent soumises à une autorité supérieure (U.E). Ils ont occidentalisé, l’Europe et les Européens. Émissions de télévisions, MTV, Mcdo, etc. Ils ont enlevé à l’homme européen sa force et sa virilité d’antan, sa fierté (phénomène ethno masochiste), l’ont rendu autosuffisant, bref, ont fait de lui un légume afin que ce dernier ne puisse plus se réveiller, obéisse docilement aux ordres de la publicité, de l’idéologie mondialiste.
Les Européens se sont occidentalisés, ils ne sont plus européens mais occidentaux.
Mais, par un acheminement prévisible, une grande crise économique est survenue, fin 2008. Déstabilisant complètement le « Système monde », celle-ci a prouvé à quel point le système du capitalisme financier était faible, et, finalement, ne reposait que sur des pieds d’argile.
Cette crise peut être annonciatrice de la chute du bloc américano capitaliste. Personne, en janvier 1989 ne prévoyait la chute du mur, sauf quelques-uns, et pourtant, les conséquences de cette dernière furent foudroyantes.
Est-ce la fin du modèle occidental, américano capitaliste ?
Car, chers lecteurs, nous ne sommes pas occidentaux, notre idéal et notre vision du monde n’est pas celle que renvoie MTV, McDo, Nike, ou la démocratie moderne.
Nous sommes Européens, et cela, nous devons l’affirmer. Homère, César, ou encore Clovis sont nos inspirateurs, et bien d’autres encore. Nous puisons notre force dans l’Iliade, dans les exploits d’Achille, des légions romaines, des chouans, des derniers combattants de la R.S.I.
Ne nous trompons plus, soyons maîtres de nos destins car, d’une manière ou d’une autre, le futur nous appartient.
Par Christophe Zeigt.

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