"Jünger forge pour lui le nom d'anarque, qu'il se presse de distinguer de l'anarchiste. L'anarque n'est pas l'adversaire du monarque. Il observe avec intérêt et détachement, se tenant sur son quant-à-soi. C'est un observateur attentif qui a renoncé au combat, mais, tout en ayant renoncé aux armes, ce n'est pas un vaincu. Il est soucieux de son intégrité. A défaut de pouvoir être le roi du monde, il est le roi de lui-même."
Dominique Venner, Ernst Jünger, un autre destin européen.
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