mercredi 10 novembre 2010

Une loi pour l'adoption d'innocents enfants par des extrémistes invertis arrive bientôt

Sans bruit et sans tapage, les juges construisent pas à pas une jurisprudence sur l’homoparentalité. Ils s’appuient sur une loi de 2002, alors présentée par Ségolène Royal, ministre de la famille de Lionel Jospin : si tel est l’intérêt de l’enfant, ce texte autorise le partage de l’autorité parentale entre le parent et un “proche digne de confiance”.
D’abord réticents, les magistrats ont fini par accepter la plupart des demandes des homoparents : l’intérêt de l’enfant, estiment-ils, est d’avoir des liens juridiques avec les adultes qui les ont voulus, nourris, élevés et entourés depuis leur naissance. (…)
Cette frilosité est d’autant plus étonnante que bon nombre de pays européens vont, déjà, nettement plus loin que la France : huit d’entre eux – le Danemark, la Suède, l’Islande, la Norvège, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, l’Espagne et la Belgique – autorisent non seulement le partage de l’autorité parentale, mais aussi la filiation au sein des familles homoparentales.
Les Intransigeants

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