mercredi 18 août 2010

Catholisisme et virilité





Le Catholisisme apostolique romain est né en Occident et se manifeste comme l’une des trois grande religion. Sa latinité touche principalement les « sudistes » : Bavarois, autrichiens, français, italiens, espagnols. Il se manifeste également par la grandeur de ses œuvres, pensons  à la basilique Saint-Pierre, à la catédrale de Rouen, magnifiée par Monet à trois reprises. La trace qu’il a laissé est considérable  et l’Europe sera marquée à jamais de son sceaux. Cepandant, la rupture qui eut lieux lors de la création de Vatican II laisse perplexe nombre de croyants, se sentant comme abandonné par la Tradition. Pour s’en rendre compte, il suffit d’observer le nombres de personnes présentes à la messe le dimanche matin. Les prêtres jouent les troubadours munis de guitares, incantant « Jésus revient ». Le catholisisme a perdu de sa grandeur, de sa hauteur spirituelle, de sa beauté et de sa virilité. Aspect viril en effet, souvent oublié par bon nombre de ses détracteurs, qu’ils soient maçons ou membres de la communauté. Il est tout à fait possible de pouvoir cracher sur cette religion aujourd’hui, l’exemple flagrant restant la télévision.  Ses représentants même, ont sombré dans un profond néant. Quelle autorité suppérieure incarne l’Eglise ? Aucune !
Le catholisisme moderne poursuit dans sa chute, la grand bouvlersement de ce monde.
Mais quelle aurait été l’utilité de cet article si je ne faisais que répeter ce qui se dit et se fait depuis 50 ans ? Ma position par rapport au catholisisme est simple. Il n’est valable uniquement  s’il remplit les taches suivantes : garant de la moral, de la justice et de la paix, autorité suppérieure et divine, protecteur vis-à-vis des fidèles.
Cet ensemble de valeurs, de principes dirais-je même, s’est incarné, et peut s’incarner dans ce que l’on appelera l’ Esprit chevaleresque. Le Chevalier se doit d’incarner les principes cités plus haut. Il le doit car il est noble. Il peut l’être de sang, mais ce critère n’est pas valable ici. Il se doit d’être le représentant du Christ, son seul véritable Roi.  Il se doit d’être en perpétuelle transceandance. Il s’élève, il s’élève pour atteindre le Divin. Pour en revenir au premier point, le Chevalier est le représentant humain de la morale, il l’incarne par son action, et sa personne.  Son but est de trouver la vérité, quête de sa vie. Cette vérité peut s’atteindre par les valeurs morales, ce qui fait donc de lui, un garant de cette dernière : la virilté au sens antique, le respect des anciens, de sa terre, l’honneur, le respect du sacré, la fidélité.Tous ces éléments se retrouvent en lui. Une autre quête de son existence est aussi celle de préserver la paix.  C’est une fin en soi. La Paix. Mais cette paix peut prendre plusieurs formes. Paix intérieure, paix extérieure. La Paix intérieure qu’il cherche est celle de son âme. Son âme est pure, et c’est par son existence qu’il l’atteint, par ses actes, par sa grandeur. Cette paix lui permet de trouver le calme et la sérénité en lui. Son âme est pure, noble, son destin et donc tracé.  Il doit aussi  veiller à la paix dite extérieure, celle du monde qui l’entoure. En tant que guerrier, voilà la tâche qui lui est atribuée. Mais il se peut que la paix ne puisse s’obtenir que par les armes. C’est souvent le cas d’ailleur. Le chevalier et en ce sens, l’incarnation du peuple. Il est le garant de la juitice sociale. Il sert le peuple car il est le peuple. La voix du peuple l’incarne, et c’est pour lui qu’il se bat, jusqu’à la mort s’il le faut. La Mort représentant chez lui une forme d’honneur, si elle fut aquiérit avec bravoure.  Sa fidélité vis à vis du peuple est donc totale. L’esprit chevaleresque, la force virile du chevalier montre l’un des apects guerrier et noble du catholisicme, mais il n’est point le seul.
Les représentants humains de Dieu, ses prêtres ont disparu depuis l’instauration de Vatican II. Les églises ne sont fourées que d’imposteurs de nos jours. Ce sont les charlatants de la parole sacrée, ils la bafouent, la souille. Ils ont transformé le message de paix du Christ par un message de propagande mondialiste. Si le Seigneur à créé les hommes de cette façon, c’est pour que cette ordre soit maintenu. Il n’y a point de races suppérieures ou inférieures, simplement des hommes différents qui tiennent à cette différence, et a pouvoir prospérer sur leur terre en paix. Voilà le but, très saint, de chaque humain. De ce fait, l’ignominie crachée par les prêtres moderne n’est que subversion. Ils ne cherchent en aucun cas à protéger le Christ, à respecter sa parole, mais ils le diffament, l’insultent. Un vrai représentant du seigneur se doit de lui donner sa vie intégralement. Tout comme le Chevalier, il l’incarne. Il se peut aussi que le Prêtre et le Chevalier ne fasse qu’un. Avant, le prêtre était le « savant » du village ou de la bourgade. C’était un homme de culture. Il pouvait manifester parfois une certaine forme de poésie. Chacune de ses messes pernait une tournure lyrique, entrainante. D’ailleurs, les églises traditionalistes n’ont jamais été si fréquentées que de nos jours. Preuve que la tradition n’est pas obscurantiste, malsaine mais bel et bien populaire, entrainante et vraie. 

Christophe Zeigt

Cercle futur

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