Un constat historique
Le nationalisme français s’est fourvoyé dans des combats étrangers à sa cause dans l’espoir de servir son pays.
Un temps, franc-tireur de la droite gaulliste et parlementaire ou complice de la politique de colonisation – entreprise purement républicaine – à travers l’Algérie Française et son officine répressive l’OAS, il jouait le parfait idiot utile.
Evidemment, ce jeu de dupes renforçait les intérêts de l’impérialisme capitaliste.
Plus récemment, en voulant s’écarter de la mouvance groupusculaire, il s’est emballé pour l’électoralisme démocratique, ce qui entraîna de la part de l’Elite un déchainement de violences et d’intimidations et un échec politique supplémentaire.
Après ces décennies de combat où faillites et désillusions se sont succédées, une refonte totale s’impose par un retour aux sources.
La rupture comme renouveau
En tant que nationalistes français et fiers de notre héritage ancestral, notre but est de régénérer le mouvement en y amenant des idées neuves et de lui impulser une dynamique renaissante.
Notre jugement sur le passé doit servir pour les générations futures afin que les erreurs commises ne se reproduisent plus.
Si le nationalisme veut retrouver ses lettres de noblesse ternies par certains de ses éléments, une rupture est primordiale afin de redorer son blason au près de nos compatriotes.
Premièrement, le combat culturel que nous devons entreprendre passe par la défense de ses piliers fondateurs.
L’identité charnelle est la base suprême de notre Nation, elle est l’acte de résistance des peuples enracinés en lutte contre l’Empire Global.
L’hypocrisie et la lutte des clans qui le gangrènent doivent cesser.
Une fermeté sur ses principes, un rejet des concessions et des alliances contre-nature qui altéreraient sa doctrine sont impératifs.
Par ailleurs, nous sommes conscients qu’une nouvelle vision sur le phénomène migratoire qui est la conséquence d’un appauvrissement sciemment organisé par l’hyper-classe à travers une néo-colonisation moderne est nécessaire.
De plus, nous proposons de substituer à la xénophobie primaire que le nationalisme traîne comme un boulet, un ethno-différentialisme respectueux des différences.
En terme économique, la question sociale ne peut-être séparée du nationalisme car ils sont complémentaires pour l’épanouissement populaire.
Elle est l’alternative au capitalisme mondial, producteur d’inégalité et d’oppression.
Notre nationalisme se veut évidemment révolutionnaire car il a pour objectif de réveiller les consciences soumises à la société marchande.
Nicolas Michelet, Membre-cadre de la Branche Francophile.
http://www.anti-imperialisme.com/
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